L'IDENTIFICATION DU SITE
Site éloigné des principaux enjeux paysagers
Faible sensibilité écologique
Faible sensibilité écologique
Hors des servitudes aériennes et militaires

Développement du parc éolien
Pour une énergie 100% renouvelable
Les grandes étapes du développement.



Identification d’une
zone avec un potentiel.
Etude et analyse
des impacts.
Demande d’autorisation
environnementale.
L’identification du site.
Au niveau régional, d’un territoire à l’autre les enjeux liés à l’implantation d’éoliennes sont très variés.
Ainsi, les cartes du Schéma Régional Éolien répertorient les principales sensibilités à prendre en compte pour l’identification d’un site éolien qui doivent notamment tenir compte des servitudes aériennes et militaires.
Les communes de Loiré et de Segré-en-Anjou Bleu, sont globalement dans des zones d’enjeu modéré. Elles sont donc situées en « zones favorables au développement de l’éolien » dans le schéma établi par la région Pays de la Loire.





Describe your image

Describe your image
L'étude technique du site et analyse des impacts.
A l’échelle locale, de très nombreux critères doivent être étudiés pour confirmer la compatibilité d’un site avec un projet éolien.
Le premier critère est l’éloignement maximum aux habitations et aux zones constructibles. Ainsi, seuls les secteurs à 500 mètres minimum des habitations sont envisagés.
Avant même l’étude environnementale, l’ensemble des contraintes techniques doit être levé. Cela inclut l’étude des servitudes liées à la circulation aérienne civile et militaire, des servitudes de télécommunication, des documents d’urbanisme, de l’éloignement aux routes, aux réseaux de gaz et d’électricité
etc…
Inventaire zone humide.
Etude d’ombre.
Diagnostic écologique.
Etude paysagère.
Etat acoustique initial.
Etude de productible à
partir des données de
vent brutes (mesures de vents).
Etude d’impacts.
Photomontage et
plan topographique.
L’intégration paysagère.
Le paysage est également un des critères principaux. Ainsi, le bureau d’étude « Résonance Urbanisme&Paysage » étudie le paysage environnant, à trois échelles différentes : l’aire d’étude immédiate, l’aire d’étude rapprochée et l’aire d’étude éloignée.
L’ensemble des monuments historiques, points d’intérêts, marqueurs paysagers etc. sont analysés pour s’assurer de la bonne intégration paysagère du projet.

Describe your image

Describe your image

Describe your image

Describe your image
L’étude environnementale.
L’équipe des naturalistes de « Impact et Environnement » étudie pendant une année le comportement des oiseaux et des chauves-souris, la faune, la flore et les habitats naturels du secteur.
Cette étude s’étale sur une année pour couvrir l’ensemble des saisons. Les sorties des écologues ont lieu de jour comme de nuit avec un pic d’activité aux moments de reproduction de la faune locale.
Le site ayant une vocation principalement agricole, les enjeux environnementaux ne sont pas sensibles.


L’étude du vent.
Une première campagne de mesure de vent s’est déroulée sur 24 mois de 2015 à 2017.
Les cinq anémomètres, deux girouettes ainsi que les capteurs de pression, température et humidité de l’air ont collecté plus de 800 000 données permettant de connaître avec précision les conditions météorologiques du site. Ces données ont ensuite été corrélées aux données des stations météorologiques à proximité afin de pouvoir corriger un éventuel déficit ou excès de vent durant la campagne de mesure.
Un nouveau mât de mesure a été installé mi-mars 2023 pour compléter les études sur les chiroptères. Ce complément est un choix des actionnaires sur la base d’une recommandation des services de l’état. Cette étude non obligatoire vise à obtenir des données plus fines sur les populations de chauve-souris. Ce 2ème mât a été installé près des vergers, sur une zone plus sensible pour les animaux.
C’est également l’occasion de refaire des mesures de vents qui viendront compléter et actualiser les résultats de la première étude.
Ces mesures sont réalisées avec « Gwind » .
L’étude acoustique.
L’étude acoustique se déroule durant une campagne de 15 jours au total.
Les points de mesures ont été choisis minutieusement, et les sonomètres, précisément calibrés, respectant une méthodologie extrêmement stricte, en termes de localisation et de hauteur. Grâce à cette mesure du bruit, une modélisation de l’environnement sonore a été faite.
Pour chaque direction et vitesse de vent, les éoliennes ne doivent pas augmenter le bruit ambiant aux habitations de plus de 3 décibels (dB) la nuit, et de plus de 5 dB le jour, c’est la notion d’émergence. Par exemple, pour une habitation où le bruit initial a été mesuré (ou calculé) à 35 dB la nuit, le bruit avec les éoliennes ne pourra pas dépasser les 38 dB.
